dimanche 31 mars 2013

Mordre à l'hameçon...

Je viens juste de cliquer. Cliquer dans le sens de "catcher". Pas de souris et d'écran. Demain, premier jour d'avril. Comme dans joke, mauvais coup drôle, blague pour taquiner.

Contente de ne pas enseigner demain. Pas à subir les énervements d'élèves avec des poissons colorés et du Scotch Tape dans le dos.

Mais j'ai le goût de manigancer quelque chose. Avec les enfants. En catimini. Contre mon chum. Une joke à mon chum. Le prendre et le surprendre. Rire un peu de lui, parce que lui, il aime bien faire mordre les enfants, premier avril ou pas.

J'y pense...

Bon poisson d'avril! N'oubliez pas, la plupart du temps, est pris qui croyait prendre...

Des bonnes anecdotes à raconter, des idées? Laissez-vous aller!

Joyeuses Pâques!


Bons chocolats, bonnes bouffes familiales!

mercredi 27 mars 2013

Divertissant l'enseignement!

Pendant qu'un élève de ma classe adore faire du "quatre troues", un autre aime bien boire une "Route Pire" avec son hamburger. J'ai su aussi qu'il y en a un qui adore aller passer le weekend "su sa ma tente".

Et durant un cours, on a abordé un peu le sujet mystérieux des drogues.Attention, j'ai entendu dire que l’hémorroïde était une drogue ultra dangereuse...

vendredi 22 mars 2013

Tu te sens mère indigne quand...

Dans la nuit, tu as ce genre de conversation avec ton fils qui vient te parler sur le bord de ton lit, pendant que tu dormais:

-Maman, la nuit est trop longue!
-Non Robin, les nuits ne sont jamais assez longues, retourne te coucher.
-Mais maman,  je viens de faire un cauchemar et tu étais morte!
-Ben non Robin, je suis ben vivante pis je dors. Laisse-moi en paix pis va te coucher.

On ne réveille jamais une mère qui dort pour de telles niaiseries.

dimanche 17 mars 2013

L'entre-deux poche.

Oui, je le déclare officiellement, nous nous trouvons présentement dans l'entre-deux poche. L'entre-deux saisons où il n'y a plus rien à cirer dehors avec ce vent pour écorner les boeufs, cette neige sale dure comme de la roche aucunement plaisante à gosser, cette température pas assez chaude pour entamer des projets de printemps et trop froide pour s'adonner aux plaisirs d'hiver.

Les enfants tournent en rond et ont fait le tour de l'intérieur de la maison et des jouets qu'elle contient. Dehors, c'est pas plus gai. La neige ne leur dit plus rien et il n'y a rien de le fun pour un enfant à rester piqué sur un reste de banc de neige à attendre le jour J où ses parents accepteront enfin d'aller braver tout ce qui se trouve empilé dans le cabanon pour sortir les vélos.

Bref, c'est poche. J'éprouverais une certaine jouissance à faire le ménage de mon char la musique dans le piton en coton ouaté. Je tripperais à faire ma brassée de mitaines, de tuques et de foulards pour l'étendre sur la corde et la ranger officiellement dans la garde-robe. J'arracherais les vieilles plantes mortes dans la rocaille. Je roulerais les fenêtres baissées à moitié en mangeant des frites pleines de sel et vinaigre du casse-croûte du coin.

En attendant ce passage obligé (merci Josélito), je vous écrit en prenant une bière en me faisant chauffer sous le soleil chaud qui passe à travers ma porte patio sale de l'extérieur. Un soleil de printemps, qui s'est pointé le bout du nez en nous donnant un avant-goût peut-être un peu trop tôt le weekend passé...

lundi 11 mars 2013

Mon ménage.

Ma maison est relativement en ordre et je ne suis pas une freak du ménage. Contrairement à certaines personnes, je ne consacre pas le quart du weekend (lire le samedi matin) à aspirer les boules de poussière derrière les portes, ni à épousseter tout ce qui ressemble à un meuble dans la maison. La vie est trop courte pour passer autant de temps sur quelque chose qui en prend trop peu à se défaire.

Je suis plutôt du genre à sortir l'aspirateur quand j'ai quelques minutes devant moi, quand mon tapis d'entrée ressemble davantage à une plage de sable qu'à un endroit où on peut se déchausser, quand on peut savoir le menu des 5 derniers jours en jetant un coup d'oeil rapide sous la table de cuisine, vous voyez le genre.

Je deal bien avec le ménage.

Je ne veux pas de femme de ménage. Je ne comprends pas comment les gens font pour laisser entrer chez eux, une femme qui viendra nettoyer leur intérieur, dans tous les sens du terme.

Ma maison, c'est mon espace. Cheveux sur le sol, bavures de pâte à dents, poils sur le bord de la toilette, miettes de pain, doigts dans les fenêtres, traces de Nutella sur le comptoir, lits pas faits, traces de bottes sur le plancher parce que clés oubliées sur la table avant de partir travailler, poubelles pleines, ça m'appartient. Je ne veux pas que personne vienne nettoyer MA saleté.

Je ne suis pas une freak du ménage, mais je serais du genre à vouloir nettoyer tout le paragraphe précédent avant que la femme de ménage vienne si j'en avais une, pour pas qu'elle pense que je suis négligente. Tu sais, le genre à faire un "pré-ménage", qui finalement, prendrait plus de temps que le ménage que je fais moi-même, sans aide.

Je ne veux pas de femme de ménage compris? Convaincante? Peut-être pas. Mais convaincue, ça je vous le garantis!

lundi 4 mars 2013

Je ne veux pas partager.

Je ne comprends pas que tu puisses mettre des enfants au monde, que tu les aies à temps plein pendant un (trop) petit bout de ta vie, que tu te sépares, pis que tu chiales sur le temps de trop que tu passes avec tes enfants parce que c'est ton "ex" qui devait les avoir tel ou tel jour et que finalement, il y a eu un petit changement au programme.

Ça ne me rentre pas dans la tête.

Personnellement, me semble qu'à partir du moment où j'ai fait le choix d'avoir des enfants, c'était pour les avoir toujours. Pas à temps partiel.

Je ne veux jamais avoir à réduire de moitié, à calculer, à partager, ce si précieux temps que je peux passer avec mes enfants.

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