N'importe quoi!

Une récente étude norvégienne en vient à cette conclusion "Le partage équitable des tâches ménagères augmenterait le risque de divorce".

"...plus un homme en fait à la maison, plus la proportion de divorces augmente."

Ouf!!! On aura tout vu, ou plutôt, tout lu.

Si je me fie à mon expérience, je travaille fort depuis quelques années en faveur d'un éventuel divorce. Bien que j'adore mon chum, laissez-moi vous dire que je me fous bien de l'adage "Quand on aime, on ne compte pas". Il n'y a pas de système de carte de punch non plus mais je travaille fort pour que les tâches soient réparties également.

J'ai passé la balayeuse en bas? Tu la passes en haut.
J'ai étendu le la brassée sur la corde ce matin? Ce serait gentil que tu rentres et plies le linge.
J'ai cuisiné le repas? Ça va de soi, tu laveras les chaudrons.
J'ai tondu le gazon la dernière fois, c'est à ton tour.
Vous voyez le genre?

Ici, pas trop de tâches attribuées à l'un ou l'autre sexe. Je souhaite que mon homme mette la main à la pâte dans tout, comme je tente de toucher un peu moi aussi aux vis, aux pinceaux et aux poubelles.

Si c'est la situation de mon couple que je mets en péril chaque fois que je veux partager les tâches ménagères, c'est ma peau que je sauve et l'image qu'on laissera à nos enfants qu'entretenir un foyer, c'est pas typiquement féminin.

Un dessin vaut mille maux...

Ces derniers jours, Robin s'ennuyait de son papa. Je vous laisse le soin de deviner où était parti le paternel.

Mignon non?

N.B. Mon chum a des cheveux en vrai.

Je n'aime pas (trop) le changement.

Ça y est, jusqu'à aujourd'hui, je pouvais refuser. Dire non. Bouder le changement. Être indifférente à cette éventuelle nouveauté, modernisation qui me guettait. Maintenant, c'est fait. Blogger a changé son interface et je dois m'y plier.

Je découvre par le fait même que les nouveautés technologiques me font toujours un peu peur. Confortable comme je le suis dans une bonne vieille paire de pantoufles, j'aimais m'identifier et tomber dans mon bon vieux tableau de bord auquel j'étais habituée.

Ce soir, c'est de l'inconnu. Plein de clics inutiles. Par chance, j'ai la flèche qui me permet de revenir sur mes pas mais quand même, j'explore, je ne suis pas à l'aise, je me cherche, c'est moins fluide qu'avant.

Mais c'est ça la nouveauté! On doit s'adapter! On doit évoluer!...N'empêche que ça me déstabilise toujours un peu quand on change mes bonnes vieilles habitudes qui allaient bien me sécurisaient.

Le beau dans tout ça: j'y ai trouvé l'inspiration pour faire un billet!

Parce que j'aime votre opinion, le changement, vous aimez???

Plaisirs niaiseux du mardi.

-Être allée jogger dans le rang ce matin avant de commencer ma journée.

-Avoir coupé du navet en forme de frites pour la collation des enfants.

-Être tombée sur cette chanson à la radio en m'en allant à l'école, avoir pu lever le son et chanter à tue-tête.

-Avoir pris le temps dîner avec une amie.

-Avoir réalisé que quand je bouge vite la tête dans la journée, mes cheveux dégagent subtilement l'odeur de mon parfum mis le matin.

-Avoir appris à un élève que dans la semaine d'école, il y a 5 jours, pas 6.

-M'être soudainement réjouie à l'idée d'avoir une soirée de pluie-cocooning-pyjama tôt.

-Avoir mis du beurre sur mes biscuits Soda.

-Avoir mangé des biscuits Goglu trempés dans un grand verre de lait pour dessert et ne pas avoir échappé un seul bout mou de biscuit dans mon lait.

-Avoir réchauffé dans la sécheuse, la serviette de bain de mes fils pour qu'ils soient au chaud quand ils sortiraient de la douche.

-Avoir couché les enfants à 19h45 et avoir ainsi pu écouter Unité 9 tranquille avec un gros bol de thé vert.

Partagez-nous un de vos petits petits plaisirs stupides, juste pour faire durer le fun ;)

Question de temps.

"Maman, ça doit ben faire 10 ans que je suis pas venu ici!

-Robin, 6 ans.

Tu peux pas oublier que t'as des enfants quand...

Tes courges ont pris vie et te sourient!

Bon samedi!!!

Deuxième et dernière chance.

Demain, je me ressaye. Je vais ressortir ma mijoteuse du "finfond" (ça, c'est encore plus creux que le fond) de l'armoire qui héberge toutes les grosses bébelles de cuisine encombrantes. Je vais lui donner une deuxième chance à ce crockpot qui, la seule et unique fois que je l'ai utilisé, m'a rendue tout à fait crackpot.

"Je ne me passerais plus de ma mijoteuse!" "C'est fou comme c'est pas compliqué!" "Qu'est-ce que je ferais sans ce truc?" ...qu'elles clament haut et fort. Mais coudonc, ça doit être moi le problème. Parce que j'ai tenté une fois de faire cuire une pièce de viande là-dedans et ça c'est avéré dur comme de la roche et pas bon du tout.

Oui, oui, j'avais assaisonné. Oui, je l'avais mis à "low". Oui, ça avait cuit lentement mais sûrement. Mais non ça ne battait pas ce que je fais cuire dans le four toute une journée à 200, comme les grands-mamans dans le bon vieux temps.

Parce que je ne veux pas me casser la tête demain, parce qu'on sera un peu à la course, je vais tout garocher dans mon crockpot demain matin et tenter de partir l'esprit tranquille avec la pensée positive qu'un bon repas longuement mijoté nous attend au retour.

Mais si je me retrouve avec une bouffe pas concluante du tout, je vous le dis, j'offrirai à qui la voudra, ma mijoteuse qui prend beaucoup trop d'espace pour l'usage que j'en fais.

Des preneurs???? Ah! Non!!! J'ai dit que je serais positive, ça va être délicieux.

Vive et vivre le progrès!

Hier, mon amie qui habite au Mexique m'avait donné rendez-vous pour un un cinq à sept sur Skype. Vers 6h00, 4h00 pour elle, mon ordi sonne et je prends mon verre pour la rejoindre devant l'écran.

Il fait chaud là-bas, le soleil plombe dans son salon et le ventilateur au plafond est au max. Ses trois gars crient derrière et s'amusent à se faire une cabane de couvertes sur le divan. Je n'ai pas encore vu le petit d'un an. Ici, pendant que je lui parle, elle constate que les arbres se font aller et qu'il fait plutôt sombre dehors, je lui révèle qu'un orage s'en vient.

On se raconte notre été, on rit des souvenirs (honteux) du passé, on "tchin", on se montre nos enfants, comment on est habillées, c'est un peu comme si elle était à côté, mais on doit parler chacun notre tour, sinon, ça coupe lorsqu'on parle en même temps.

Quand on se quitte, on s'envoie un bec et on tarde à appuyer sur le petit téléphone rouge.

Vive Skype. Pour les grands-parents qui peuvent voir leurs petits-enfants plus souvent, pour le militaire qui peut voir sa famille malgré les kilomètres les séparant, pour les amoureux, les familles, les amis éloignés (...) qui peuvent se rapprocher un brin, bien qu'ils soient loin.

C'est certain, quand on se reverra, on aura l'impression que ça ne fait pas longtemps qu'on s'est vues. Mais au moins, grâce aux technologies d'aujourd'hui, la distance et le temps n'auront pas eu raison de notre amitié.

Non, 8&&%$&(, je ne suis pas un robot.

Prouver que je ne suis pas un robot??? Y en a marre!!!! Désolée cher bloggers/euses, je ne commente plus souvent vos blogues. Depuis quelques semaines, je perds plus de temps à essayer de prouver que je ne suis pas un robot en tentant de retranscrire les captcha que j'en prends pour écrire le commentaire sur votre billet. Et ça m'enraaaaaaaage!

Je suis seule avec cette frustration ou vous éprouvez le même problème??

Voilà pourquoi, ici, dès que vous laissez votre commentaire, il est accepté, qui que vous soyez...Si vous voulez emboîter le pas, go! L'accessibilité et la facilité, je ne déteste pas avec le peu de temps qu'on a de nos jours!

Ça m'a fait du bien d'en parler.

Drôle de question.

Robin, pendant un dîner "pique-nique" au camping:

-Maman, où est-ce que ça pousse le jambon cuit?

Il va être déçu. Dans quelques jours, on ira cueillir des pommes. Pas des tranches de jambon!